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Colombie-Betancourt: France, Suisse et Espagne se réuniraient avec les FARC
BOGOTA, mardi 27 décembre 2005 (LatinReporters.com) - Après consultation avec leurs gouvernements respectifs, les ambassadeurs de France, de Suisse et d'Espagne à Bogota ont accepté, selon la chaîne de télévision colombienne CMI, de se réunir avec la guérilla marxiste des FARC pour lui donner des explications complémentaires sur une proposition destinée à faciliter un échange humanitaire.

Colombie-Betancourt: oui ou non des FARC à la négociation? Arguments
BOGOTA, mercredi 14 décembre 2005 (LatinReporters.com) - La guérilla marxiste des FARC est sous forte pression après le feu vert du président colombien Alvaro Uribe à la négociation d'un échange humanitaire de prisonniers, dont la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, dans une zone démilitarisée proposée par la France, la Suisse et l'Espagne. Que répondra la guérilla?

Ingrid Betancourt, les FARC, la France et les Basques de l'ETA
MADRID, lundi 28 novembre 2005 (LatinReporters.com) - Guérilla colombienne des FARC et séparatistes basques de l'ETA sont "terroristes" selon l'Union européenne et les Etats-Unis. La France méprise l'ETA, mais dépêche des émissaires auprès des FARC pour négocier la libération d'otages. Le ferait-elle si la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt n'était pas prisonnière des guérilleros? Rebeca Padrón, lectrice colombienne de LatinReporters, défend la France.

Colombie: Ingrid Betancourt et la France, instruments des FARC?
BOGOTA, samedi 24 septembre 2005 (LatinReporters.com) - Une protestation de la Colombie contre "l'ingérence" française dans ses "affaires intérieures" a été confirmée officiellement vendredi à Bogota. Auparavant, la poursuite de tractations entre la guérilla marxiste des FARC et la France, en vue de la libération de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, avait été révélée par des sources proches des FARC, malgré la discrétion prônée par Paris.

Colombie: les FARC proposent le dialogue aux Etats-Unis
BOGOTA, lundi 27 juin 2005 (LatinReporters.com) - La guérilla marxiste colombienne des FARC se déclare disposée à dialoguer avec les Etats-Unis à propos de la paix et de "tous les thèmes" d'intérêt commun, y compris l'échange de prisonniers. Comme la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, trois Américains sont séquestrés par les FARC.

Colombie-Betancourt: la guérilla des FARC durcit ses exigences BOGOTA, lundi 28 février 2005 (LatinReporters.com) - La libération de "la totalité des guérilleros" emprisonnés est à nouveau réclamée par la guérilla colombienne marxiste des FARC dans sa proposition d'échange humanitaire dont bénéficierait notamment la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, séquestrée par les FARC depuis le 23 février 2002. Mais la guérilla durcit en fait ses exigences en prétendant que l'échange bénéficie à trois de ses chefs capturés récemment, dont l'un a été extradé vers les Etats-Unis.

Colombie-Betancourt: les enlèvements, première source de revenus des FARC
BOGOTA, mercredi 23 février 2005 (LatinReporters) - Les enlèvements rapportent annuellement à la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) quelque 37 millions de dollars et constituent leur première source de financement estime un organisme du ministère colombien des Finances. Enlevée par les FARC le 23 février 2002, la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt entame sa 4e année de captivité.

Colombie-Ingrid Betancourt: contacts directs de la France avec la guérilla des FARC, selon Tiempo
BOGOTA, mardi 22 février 2005 (LatinReporters.com) - Autorisé par le président Jacques Chirac, le gouvernement français a cherché en 2004 le contact direct avec la guérilla marxiste colombienne des FARC pour tenter d'obtenir la libération de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, affirme mardi à Bogota l'influent quotidien El Tiempo, qui cite "des sources diplomatiques à Paris".

Colombie: les FARC "ratifient" leur lutte et ignorent l'ultimatum gouvernemental
BOGOTA, jeudi 30 décembre 2004 (LatinReporters.com) - "Nous ratifions notre décision de lutter" affirme la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) dans un message diffusé mercredi soir. Malgré l'ultimatum qui expire ce 30 décembre, la guérilla ignore l'exigence gouvernementale de libération de 63 otages, dont Ingrid Betancourt. En échange de cette libération, l'extradition vers les Etats-Unis d'un chef des FARC, Simon Trinidad, aurait été paralysée par le président Alvaro Uribe.

Colombie - La guérilla des FARC veut s'exprimer à la tribune de l'ONU
BOGOTA, mardi 28 décembre 2004 (LatinReporters.com) - La guérilla des FARC, la plus importante de Colombie, sollicite d'expliquer devant l'Assemblée générale des Nations unies sa solution du conflit interne colombien. La demande est adressée au secrétaire général de l'ONU, M. Kofi Annan, dans une lettre qui renouvelle l'offre de libération de 63 otages des FARC, dont Ingrid Betancourt, en échange de celle de 500 guérilleros emprisonnés.

Colombie-échange humanitaire: la guérilla des FARC lâche du lest territorial
BOGOTA, samedi 4 décembre 2004 (LatinReporters.com) - La guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) réduit considérablement la superficie de la zone démilitarisée qu'elle exige du gouvernement colombien pour y négocier la libération d'otages des FARC en échange de plus de 500 guérilleros prisonniers. Les FARC octroient à l'Eglise un rôle moteur pour faire démarrer les négociations, mais les rebelles avertissent que l'extradition aux Etats-Unis de l'un de leurs chefs, Simon Trinidad, compliquerait "sérieusement" les possibilités d'échange humanitaire.

Colombie-Betancourt: guérilla des FARC insensible à la grâce de 23 rebelles
BOGOTA, vendredi 3 décembre 2004 (LatinReporters.com) - Présentée comme un geste en faveur de la libération de tous les otages (dont Ingrid Betancourt) aux mains de la guérilla des FARC, la grâce de 23 guérilleros a été signée jeudi à Bogota par le président colombien Alvaro Uribe. Ce geste unilatéral semble laisser insensible la guérilla. Il ne satisfait pas aux conditions qu'elle pose à la négociation d'un échange humanitaire. Très proche des FARC, l'agence de presse ANNCOL (Agencia de Noticias Nueva Colombia) qualifie la grâce gouvernementale de "show médiatique".

Colombie: la guérilla des FARC rejette l'échange humanitaire proposé par Uribe
BOGOTA, lundi 23 août 2004 (LatinReporters.com) - La guérilla des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie, marxistes) a confirmé dimanche soir sur son site Internet son rejet de la proposition inédite d'échange humanitaire lancée au nom du président colombien Alvaro Uribe. La proposition, rendue publique le 18 août, portait sur l'échange de 50 rebelles emprisonnés contre 59 otages retenus par les FARC, à savoir la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt, des mandataires politiques et des officiers colombiens, ainsi que trois Américains.

Colombie: la guérilla refuserait l'échange d'otages, dont Ingrid Betancourt, contre 50 rebelles
BOGOTA, jeudi 19 août 2004 (LatinReporters.com) - "Nouvelle tromperie", "jet de bave", proposition "mesquine"... C'est ainsi qu'ANNCOL, agence de presse officieuse de la guérilla des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie, marxistes), qualifie ce jeudi la proposition inédite du gouvernement colombien d'échanger 50 rebelles emprisonnés contre les otages politiques retenus par les FARC. Parmi eux, l'ex-candidate à la présidence Ingrid Betancourt, séquestrée depuis le 23 février 2002. Révélée mercredi, la proposition gouvernementale d'échange humanitaire a soulevé l'espoir des familles des otages.

Colombie: "Ingrid Betancourt n'était pas la candidate de la paix" selon les FARC
BOGOTA, mardi 4 mai 2004 (LatinReporters.com) - "Ingrid Betancourt n'était pas la candidate de la gauche ni celle du peuple ni celle de la paix" affirme dans une interview Raul Reyes, porte-parole et commandant de la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie). Ex-candidate à la présidence de la Colombie, séquestrée en pleine campagne électorale dans le sud de ce pays par les FARC, le 23 février 2002, la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt est depuis plus de deux ans prisonnière des guérilleros, qui l'utilisent pour tenter d'obtenir des concessions politiques.

La "déification" d'Ingrid Betancourt critiquée en Colombie
BOGOTA, lundi 23 février 2004 (LatinReporters.com) - La "déification" par "les médias français" d'Ingrid Betancourt, captive depuis deux ans de la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie), qui l'ont enlevée le 23 février 2002, est vivement critiquée lundi dans un article d'opinion publié par le plus important quotidien de Colombie, le journal libéral "El Tiempo" de Bogota. L'article est signé par l'une des plus célèbres journalistes colombiennes, Maria Jimena Duzan, qui fut menacée de mort par les cartels colombiens de la drogue.

Colombie / Ingrid Betancourt : 2 ans otage des FARC, qui capitalisent l'émotion
BOGOTA, dimanche 22 février 2004 (LatinReporters.com) - Souvent détournée politiquement contre le gouvernement colombien du président Alvaro Uribe, l'émotion internationale née de l'enlèvement de la Franco-Colombienne Ingrid Betancourt sert ainsi paradoxalement ses ravisseurs, qui ont donc intérêt à prolonger cette séquestration. Enlevées le 23 février 2002, l'ex-candidate écologiste à la présidence de la Colombie et sa directrice de campagne, Clara Rojas, sont depuis deux ans otages de la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie). L'Union européenne et les Etats-Unis ont inscrit les FARC et leurs adversaires paramilitaires des AUC (Autodéfenses unies de Colombie) sur la liste des organisations terroristes.

Colombie - FARC: libération d'Ingrid Betancourt liée à celle de Simon Trinidad
BOGOTA/QUITO, jeudi 15 janvier 2004 (LatinReporters.com) - La libération d'Ingrid Betancourt et "d'autres prisonniers politiques" est liée par la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) à l'inclusion, dans un "échange humanitaire" de prisonniers, du commandant guérillero Simon Trinidad, arrêté le 2 janvier à Quito (Equateur) et livré aux autorités colombiennes. Dans un communiqué diffusé mercredi sur leur site Internet, les FARC prétendent que l'arrestation de Simon Trinidad l'a empêché de préparer en Equateur "une réunion avec le secrétaire général de l'ONU" et une "rencontre avec des représentants du gouvernement français pour trouver une solution définitive à la captivité d'Ingrid Betancourt".

Colombie: Ingrid Betancourt refuse d'être échangée par la guérilla des FARC
BOGOTA, lundi 1er septembre 2003 (LatinReporters.com) - En vie sur une nouvelle vidéo de la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie), qui la séquestre depuis le 23 février 2002, Ingrid Betancourt s'oppose "par principe" à son échange contre des insurgés emprisonnés, contrairement au souhait de sa famille et des FARC. Diffusée samedi par la télévision colombienne, la vidéo surprend par son hostilité envers la guérilla, qui devrait l'avoir supervisée. L'ex-candidate des Verts à la présidentielle colombienne y parle même de "gagner la guerre" contre les guérilleros et exhorte le président Alvaro Uribe à lancer des opérations militaires bien préparées pour libérer des otages des rebelles.

Colombie: la guérilla des FARC dément indirectement la mort d'Ingrid Betancourt
BOGOTA, mercredi 9 octobre 2002 (latinreporters.com) - "Les actions militaires et les bombardements sans distinction des forces armées colombiennes mettent en grave danger de mort l'ex-candidate à la présidence Ingrid Betancourt, les douze députés de la Vallée du Cauca et les officiers de la police et de l'armée retenus par les FARC-EP" affirme un communiqué diffusé par ANNCOL, l'agence de presse de la guérilla marxiste des Forces armées révolutionnaires de Colombie-Armée du peuple (FARC-EP). Le communiqué dément ainsi indirectement la mort d'Ingrid Betancourt, qui alimentait la semaine dernière des rumeurs relayées par des médias de Bogota.

Colombie: Ingrid Betancourt en vie sur une vidéo enregistrée par la guérilla
BOGOTA, mercredi 24 juillet 2002 (latinreporters.com) - Pour la première fois depuis son enlèvement par la guérilla, le 23 février dernier, la franco-colombienne Ingrid Betancourt, ex-sénatrice et ex-candidate écologiste à la présidence de Colombie, est apparue mardi soir en vie sur une vidéo enregistrée par les rebelles et diffusée par le canal de télévision colombien Noticias Uno.

Colombie-présidentielle: la campagne virtuelle d'Ingrid Betancourt, séquestrée par la guérilla
BOGOTA, samedi 25 mai 2002 (latinreporters.com) - Kidnappée il y a trois mois dans le sud colombien par des guérilleros marxistes des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie), Ingrid Betancourt a mené, par amis et parents interposés, une campagne virtuelle pour l'élection présidentielle colombienne de ce dimanche 26 mai. Une photo grandeur nature transportée par sa mère et son mari a assuré la participation symbolique d'Ingrid, candidate écologiste, à des tables rondes et meetings électoraux. Une loi permet aux Colombiens aspirant à une charge publique de continuer à la briguer en cas de séquestration.

Colombie: otage de la guérilla, Ingrid Betancourt reste candidate à la présidence
BOGOTA, jeudi 28 février 2002 ( latinreporters.com) - Enlevée le 23 février par la guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie), Ingrid Betancourt, candidate écologiste à l'élection présidentielle du 26 mai, risque de demeurer pendant de longs mois l'otage des insurgés qui proposent de l'échanger, "dans le délai d'un an", contre des guérilleros emprisonnés. Ingrid Betancourt conserve néanmoins légalement sa qualité de candidate à la présidence et les électeurs colombiens pourront voter pour elle afin que "la démocratie ne soit pas séquestrée".

Colombie: la guérilla enlève Ingrid Betancourt, candidate à la présidence
BOGOTA, lundi 25 février 2002 (latinreporters.com) - La guérilla marxiste des FARC (Forces armées révolutionnaires de Colombie) détient toujours ce lundi Ingrid Betancourt, pasionaria anticorruption et candidate écologiste à l'élection présidentielle colombienne du 26 mai prochain. Très connue à l'étranger, notamment en France et aux Etats-Unis, Ingrid Betancourt et sa directrice de campagne électorale, Clara Rojas, ont été enlevées samedi sur une route du sud de la Colombie. Elles sont victimes des représailles de la guérilla à l'offensive militaire sans précédent lancée jeudi contre les insurgés après la rupture du processus de paix.



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